Important
Pour les benjamins désireux de participer aux compétitions officielles FFJDA, le passeport à jour est indispensable. Pour en
assurer l'obtention, suivre ce lien pour voir les éléments à fournir :
Demande de passeport
Une fois le passeport reçu, merci de se rapprocher de Robert ou des membres du bureau pour qu'il soit correctement rempli.
Le passeport doit être tamponné par un médecin , qui doit écrire "Apte à la compétition" sur le passeport.
Pendant une compétition un tableau est établi par catégorie de poids allant en moyenne de -36 à +100 kilogrammes (les catégories
précises dépendent de l'âge et du sexe).
Des tableaux sont constitués en fonction du nombre de participants, soit par poules de sept judokas au maximum soit par
élimination directe (moins fréquent).
Des repêchages sont aussi présents pour les judokas éliminés en quarts de finale et demi-finales pour l'attribution des deux
troisièmes places.
Les arbitres en judo ont pour
mission
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d'accorder les avantages ou la victoire
aux combattants à la suite de techniques partiellement ou totalement réussies ;
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de maintenir l'intérêt du combat et d'assurer la sécurité des combattants en arrêtant et en faisant
reprendre le combat lorsque c'est nécessaire ;
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d'informer les combattants et la table (et si possible les spectateurs) du déroulement du combat, par
exemple lorsqu'il y a début d'immobilisation ;
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de faire respecter les règles et d'appliquer les sanctions appropriées si nécessaire.
Termes
d'arbitrage
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Hajime (les mains le long du corps) : commencez
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Matte (bras tendu vers les commissaires sportifs, paume face à la table) : pause dans le
combat
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Soremade : fin du combat
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Hiki-wake : égalité
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Yoshi (en touchant brièvement les deux combattants) : reprenez le combat (après Sonomama)
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Hantei : décision des juges
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Osae-komi : début d'immobilisation
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Toketa : sortie d'immobilisation
Avantages
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Kinza : n’est pas
« ouvertement comptabilisé » par l'arbitre, mais est gardé en tête par ce dernier jusqu'à la fin du combat, et, en cas d'égalité, permet de désigner un vainqueur. Parfois en cas
d'égalité, même si aucun combattant n'a chuté, si l'un des deux combattants a entrepris beaucoup plus d'attaques que l'autre, en prenant beaucoup plus de risque que l'autre, il peut être
désigné vainqueur par l'arbitre.
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Koka : a disparu
du judo moderne depuis la saison 2008-2009 pour les minimes, cadets, juniors et seniors (règlement français et international). Il désignait une chute, sur la partie arrière du corps, sans
qu'aucune épaule ne touche à terre, mais avec suffisamment de vitesse, de force et de contrôle. Dans le cas général une chute sur les fesses entraînait un koka. Il est devenu un
kinza.
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Yuko : 5 points (bras tendu sur le côté en
dessous de l'horizontale, doigts tendus) — avantage moyen, par projection temps d'immobilisation au sol ou sanction à l'adversaire.
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Waza-ari :7 points
(bras tendu sur le côté au-dessus de l'horizontale, doigts tendus) — presque la victoire, par projection temps d'immobilisation au sol ou sanction à l'adversaire.
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Ippon : 10 points (bras tendu au-dessus de la tête, doigts tendus) — victoire acquise (point) par projection dite « parfaite »,
immobilisation de l'adversaire jusqu'au terme du temps, en cumulatif de l'avantage de points waza-ari debout ou au sol, par abandon de l'adversaire par soumission (suite à un étranglement ou
une clef de bras), c'est la fin du combat.
Sanctions
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Shido : le premier avertissement est « gratuit » et oral,
anciennement il donnait un Koka
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Chui : 2e avertissement
(donnait anciennement un Yuko)
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Keikoku : 3e avertissement
dernier avant disqualification
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Hansoku-make : faute grave (disqualification de la compétition ou du combat) ou accumulation de
trois fautes légères (disqualification du combat).